La tour Eiffel, der Eiffelturm, ist Bestandteil vieler Truffaut-Filme und auch in „Baisers volés“ ist er mehrfach zu sehen, auch auf den Plakaten.
Wie Claude Jade aus Dijon stammend, ist Gustave Eiffel heute vor 100 Jahren, am 27. Dezember 1923, in Paris gestorben.
Nach Eiffel wurde in Dijon eine Straße benannt, die Avenue Gustave Eiffel, nach der „petite fiancée du cinéma français“ die Allée Claude Jade.
Ein Miniatur-Eiffelturm steht zudem immer in Antoines Wohnung. In „Vivement Dimanche“ setzt Fanny Ardant mit einer solchen Miniatur Jean-Pierre Kalfon außer Gefecht.
„Baisers volés“, François Truffaut und La Tour Eiffel gehören zusammen – auch wenn das eigentliche Pariser Symbol für Claude Jade – als Christine Darbon mit Jean-Pierre Léaud als Antoine Doinel – die Bank an der Avenue Breteuil ist.
Der Fotograf dieses Fotos, le Superposeur, wurde gefragt, ob es bei seinen Collagen von legendären Filmorten ein Foto gäbe, das ihm besonders am Herzen liege, sagte er: „Das der Bank in der Avenue de Breteuil, auf der Jean-Pierre Léaud und Claude Jade am Ende von Truffauts Baisers volés sitzen. Für mich ist das die legendärste Bank in Paris! Für mich ist sie ein Nationaldenkmal in meinem persönlichen Pantheon.“ Die Bank hat bis heute noch keinen Namen.
La tour Eiffel fait partie intégrante de nombreux films de Truffaut et on la retrouve à plusieurs reprises dans „Baisers volés“, y compris sur les affiches.
Originaire de Dijon comme Claude Jade, Gustave Eiffel est mort à Paris il y a aujourd’hui 100 ans, le 27 décembre 1923.
Le nom d’Eiffel a été donné à une rue de Dijon, l’avenue Gustave Eiffel, et celui de la „petite fiancée du cinéma français“ à l’allée Claude Jade.
Même si le véritable symbole parisien de Claude Jade – en Christine Darbon avec Jean-Pierre Léaud en Antoine Doinel – est le banc de parc de l’avenue Breteuil.
On a demandé au photographe de cette photo, le Superposeur, si parmi ses photomontages de lieux mythiques du cinéma, il y avait une photo qui lui tenait particulièrement à cœur, a-t-il répondu :Celle du banc de l’avenue de Breteuil où s’assoient Jean-Pierre Léaud et Claude Jade à la fin de Baisers volés de Truffaut. Pour moi, c’est le banc le plus mythique de Paris ! Pour moi, c’est un monument national dans mon panthéon personnel. “ Aujourd’hui encore, ce banc n’a pas de nom.



